PROTECTION DES DROITS DE L’ÂME ET DE LA CONSCIENCE

DÉCLARATION DES DROITS DE L’ÂME ET DE LA CONSCIENCE

DDAC

Texte reçu par résonance de conscience à conscience avec l’Intelligence Universelle.

Définition de l’Âme :

 

L’Âme est un contenant constitué de particules énergétiques se condensant en forme humaine sur le plan de la Terre. En ce sens, elle est la structure vibratoire, le concept du corps physique se manifestant et apparaissant sur la Terre sous forme d’enveloppe humaine par l’effet de la gravité. L’Âme permet à la conscience inhérente à la matière de se développer au sein du corps humain. Cette action de conscientisation des cellules dans le corps de l’humain permet le passage de l’intelligence du vivant jusqu’au système neuronal de l’individu. L’Âme est un organe biologique vibrant à sa plus haute fréquence, ce qui rend sa structure spirituelle invisible à l’œil humain. Le corps physique est cet organe biologique, mais réduit à sa plus basse fréquence, ce qui permet à l’œil humain d’en faire l’expérience physique.
Ainsi l’Âme et le corps sont indissociables et doivent être traités et considérés de la même manière à tous les plans.

 

Définition de la conscience :

La conscience est la mémoire et la programmation intelligente du vivant en toute chose. La conscience ne dispose pas de jugement de valeur puisqu’elle est un concentré de vie tendant toujours vers l’expansion du respect et la pérennité de cette vie. La conscience disposant de la particule de vie est le contenant permettant à « l’esprit » de cette vie de transiter par elle, à travers l’Âme et jusque dans le système biologique et neuronal de l’humain. La conscience permet à l’humain de veiller au respect de la vie en toute chose, en tout lieu, en toute circonstance. La conscience est véhiculée par les hautes émotions humaines. Les émotions humaines sont les conséquences chimiques produites par le mouvement de l’Âme et du corps, en réaction à l’environnement immédiat. Ainsi, les émotions basses ne permettent pas le passage de la conscience de vie au sein du corps humain, voire exonèrent la matière que constituent le corps et l’Âme de cette conscience de vie.

Définition de l’Esprit de vie :

L’Esprit de vie est l’intelligence incontestable ayant pensé et programmé la vie en toute chose. L’Esprit de vie se propage par la conscience diffusée par l’Âme jusqu’à son incarnation-apparition sur le plan de la Terre, grâce au phénomène d’attraction terrestre densifiant l’idée spirituelle de la création.

Intermédiaires en Consciences :

Les IEC sont des professionnels reconnus pour avoir la capacité de réceptionner des informations subtiles provenant de l’Esprit de vie afin de garantir la sécurité, la santé et le respect de la vie des humains.

DECLARATION DES DROITS DE L AME ET DE LA CONSCIENCE, LA DDAC

  • ARTICLE 1 : Tout individu né sur cette Terre dispose d’une Âme lui permettant librement d’accéder à sa conscience, puisqu’il a été pensé par l’Esprit qui l’a créé et se condense sous forme de corps physique. Cette Âme existe en pensée avant de se manifester sur la Terre sous forme physique, et continue d’exister sous forme d’intelligence après la disparition de son enveloppe terrestre.
  • ARTICLE 2 : Chaque humain résidant sur Terre est issu de la même pensée créatrice lui permettant librement et facilement l’expérimentation de la vie sous forme physique. Lorsque l’intelligence de vie décide de quitter le corps par sa conscience, qui quitte le corps elle aussi, l’Âme, ne disposant plus des éléments permettant la viabilité du corps, retourne à l’idée qui l’a créée, laissant sur la Terre le corps constitué de matière, exonéré de vie et de conscience.
  • ARTICLE 3 : Chaque individu est libre d’exprimer en son Âme et conscience, dans son expérience du vivant, en tout lieu et en toute circonstance, la volonté de ce que son esprit a voulu pour lui sur cette Terre, et cela à tous les plans de sa vie.
  • ARTICLE 4 : L’humain a le devoir de considérer les autres humains comme égaux et libres d’expérimenter leurs vies sans condition aucune, car avant d’être homme ou femme, malade ou en bonne santé, pauvre ou riche, l’humain est une pensée issue d’une seule intelligence, et identique à cette intelligence qui l’a engendré et le manifeste sur cette Terre à son image, homme et femme à la fois.
  • ARTICLE 5 : Chaque humain vient sur Terre librement puisque la pensée qui le manifeste sous forme physique lui a permis cette incarnation. Ainsi il a le droit de vouloir, dès le premier jour de sa conception et alors même qu’il n’est pas né de la femme, interagir par la pensée avec des Intermédiaires en Consciences se trouvant sur cette Terre, pour exprimer sa volonté sur ses conditions de vie et de naissance. La pensée qui souhaite venir par son Âme et sa conscience se manifester sur le plan physique est aussi libre, durant la gestation de son corps, de renoncer à sa naissance physique en ne permettant pas à son Âme comme à sa conscience de donner vie à ce corps en devenir.
  • ARTICLE 6 : Les modalités de naissance de chaque individu doivent être adaptées afin de permettre à l’Âme de véhiculer dans de bonnes conditions la conscience de l’individu, lui permettant l’accès immédiat à son Esprit de vie. Ainsi, l’enfant aura en lui, dès le premier jour de sa naissance, toutes les ressources d’intelligence de vie pour évoluer dans la santé de son corps et dans le respect de sa vie et celle des autres.
  • ARTICLE 7 : Chaque individu, lorsqu’il est privé de sa capacité d’exprimer les décisions concernant sa vie et les conditions de cette vie sur cette Terre, par suite d’un handicap, un coma, une maladie, a le droit de se faire représenter par un Intermédiaire en Consciences qui saura impartialement transcrire la volonté de sa pensée intelligente. Cet intermédiaire sera sélectionné par ses proches ou le personnel médical que l’obligation du respect des conditions de vies de l’Âme obligera dans cette intermédiation.
  • ARTICLE 8 : Durant son existence, l’individu aura le droit d’évoluer dans le monde du travail, et social en général, dans le respect de son identité, de ses valeurs profondes concernant la vie, la santé de son corps et la sécurité de son être. Ainsi, alors qu’il est en relation contractuelle avec un tiers, alors même qu’il a librement contracté avec lui, le tiers devra en premier lieu respecter et veiller à ce que les obligations contractuelles n’entraînent pas pour l’individu la perte de sa santé psychique, physique et économique, le privant de moyens de survie et de sécurité dans le domaine de la santé, du logement et alimentaire. Une limite doit être fixée dans le cadre des recouvrements de dettes économiques.
  • ARTICLE 9 : L’Esprit qui crée l’humain est un Tout. Chaque humain, puisque pensé par l’Esprit, est une partie du Tout. Chaque partie doit être reconnue comme utile et nécessaire au bon fonctionnement des rouages universels permettant un équilibre mondial dans tous les domaines et pour tous les individus. Toute atteinte contre une partie du Tout menaçant la santé, la vie et la sécurité de cette partie contribue à la destruction de cet équilibre, engendrant des évènements extérieurs destructeurs. Toute atteinte à une partie est un crime contre le Tout qui permet la survie sur Terre.